petit free, pour un concours sur OrangeBlog...
2007 sous une nouvelle facette
J’ai plus de vices qu'en 2006, je me dis que j'avance dans le bon sens
Mais entre doutes et certitudes, il reste des litiges
Les solutions par l'avenir ont été prises en otage
On tej trop vite les mauvais coups qui peuvent nous instruire
Garder tous les souvenirs, c'est ce que j'instaure
Je ne vois pas les sous venir, mais ça arrivera
Dans ce flot de liquide, je ne suis qu'un riverain
Bref, je me sens bien, mais il y a des manques
Et mes seuls comptes à régler sont à la banque
Aucun regret où je vois mon moral régresser
Et mon passé, je ne pourrais jamais le retracer
Peu stressé par la suite, je l’étais plus en 06
La vie continue, malheureusement la misère aussi
Encore une occasion de changer les choses
Je suis prêt, j'ai déjà rechargé les doses
2007, mon cœur déjà chargé de nostalgie
Depuis 87, j’ai rarement laissé les autres agir
Des antalgiques, c’est ce que m’apportent mes potes
Quand mon humeur fait du porte à porte
Pour essayer de revendre toute sa tristesse
Mais face à la déprime des autres, certains se taisent
Certains tisent en groupe, bédavent en groupe
Moi j’écris seul, mes textes poussent en grappes
J’ai mis le grappin sur cette grippe trop contagieuse
Surnommé l’amour, son histoire se raconte à deux
J’ai surmonté sa mort, déjà beaucoup trop de fois
Dans mes ardeurs, elle a jeté beaucoup trop de froid
Je repars quand même motivé, j’ai juste changer d’optique
Peu la comprenne, donc je prends la place d’autiste
D’autant que l’entourage se réduit au fil du temps
Mais apparemment, ma part de naïveté se déteint
2007, cette envie d’ailleurs m’obsède
Ça te saute aux yeux quand j’accède
A mes rêves en pleine journée, la tête dans les nuages
Mais la pluie s’est acharnée, je suis retombée sur le rivage
Un virage est à prendre, un visage est à peindre
Que de moi ça va dépendre, je sais que je ne suis pas à plaindre
J’ai beaucoup, peut-être trop, mais je cherche la perfection
Mes désirs en désordre, je fais parti de la pire faction
A part fac, son, famille, amis, il me manque pas mal
J’ai pas milles raisons de pleurer, mes pensées un pêle-mêle
J’ai pesé mes peines en tonnes, ma haine en thune
Car j’ai dépensé trop d’énergie à redorer le blason de victime
J’ai redonné raison aux films que je me fais chaque jour
La fin n’est jamais comme je l’imagine, pourtant je fais tout pour
Je perds l’espoir, le pire, c’est que je sais qu’il flirte avec la vanité
En fait cette année, je cherche juste la porte de la vérité